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Pour la journée mondiale des télécommunications, le Bénin promeut les métiers du numérique

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Les différents acteurs du secteur de l'entrepreneuriat et des Technologies de l'information et de la communication (TIC) sont réunis ce 17 mai 2016 au Palais des Congrès de Cotonou pour célébrer la journée mondiale des Télécommunications et de...


Télécoms : le 13ème séminaire international du Fratel s'intéresse à l'aménagement numérique du territoire à Cotonou

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Le 13ème séminaire international de régulation des télécommunications du Réseau francophone de la régulation des télécommunications (Fratel) a débuté à Cotonou ce 24 mai 2016. Durant deux jours, les échanges vont porter sur le thème...

Le Bénin veut définir sa stratégie de développement du numérique

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Le gouvernement béninois a lancé ce matin un atelier de réflexion en vue de l'adoption d'une stratégie du développement du numérique dans le pays à l'horizon 2021. L'événement dénommé EnnovBénin2021 a été officiellement lancé en présence du chef de l'Etat, du ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement et de la ministre de l'Economie numérique et de la Communication

Médias : les conseillers de la Haac se préparent pour le passage de l'analogie au numérique

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Les conseillers de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac) se documentent depuis ce 11 juillet 2016 à Bohicon...

L'Oif lance un hackathon à Cotonou pour créer les "médias de demain"

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L'Organisation internationale de la francophonie (Oif) a lancé à Cotonou ce vendredi 29 juillet 2016 un hackathon de l'innovation dans le domaine des médias. Ce hackathon "innovation média" ou encore médiathon est un concours au cours duquel des journalistes, développeurs et graphistes vont imaginer et développer des "médias de demain".

Cotonou accueille un séminaire sur la prévention des risques numériques

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La prévention des risques numériques est au coeur d'un atelier qui s'est ouvert ce 2 août 2016 à Cotonou. L'initiative est de l'Association francophone de prévention des risques numériques avec le soutien dela Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (Ccib) et l'Organisation internationale

Bénin Télécoms lance "Iwi", l'Internet par le Wifi dans les lieux publics

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Il est possible depuis le mardi 23 décembre 2014, avec Bénin Télécoms SA, de se connecter à Internet via le Wifi dans certains lieux publics de Cotonou et de Parakou. Iwi, acronyme de "Internet par le Wifi" est la nouvelle offre grand public mise sur le marché par Bénin Télécoms SA à cet effet...

Cybersécurité - Partie 1 : Cybersécurité et Cyberdéfense, leviers de l’intelligence économique

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La numérisation de la société africaine s’accélère : la part du numérique dans les services, les produits, les métiers ne cesse de croître. Réussir la transition numérique est devenu un enjeu continental. Vecteur d’innovation et de croissance, la numérisation présente aussi des risques pour l’état, les acteurs économiques et les citoyens.


Cybersécurité - Partie 2 : La culture du risque numérique en Afrique

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La culture du risque numérique s’imposera aux managers africains. La numérisation des processus d’industrialisation, de production et de commercialisation est déjà une réalité pour nombre de secteurs d’activités africains. Qui misent sur les technologies de l’information pour accroître leur compétitivité, développer leurs réseaux de clientèle et monter en force dans la chaîne de création de valeur.

Cybersécurité - Partie 3 : La Cybersurveillance des gouvernements africains

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Les gouvernements et les entreprises africains sont cyber surveillés…depuis très longtemps. 
Nous sommes dans la décennie qui verra la pénétration d’Internet dans le cœur même des compétences régaliennes des états africains.

Cybersécurité - Partie 4 : Que ce cache-t-il réellement derrière PRISM ?

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PRISM a des émanations françaises, anglaises, canadiennes, allemandes et…chinoises. Selon le Guardian, la NSA consacre 250 millions de dollars par an pour influer sur les choix des technologies de cryptages des entreprises, sur la définition des standards mondiaux et la conception de leurs produits. Cette simple affirmation aura des implications importantes sur la crédibilité et les choix des technologies de cryptage des gouvernements africains.

Cybersécurité - Partie 5 : Cartographie de la guerre économique en Afrique

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Comment la Cybersécurité peut-elle devenir une redoutable arme de compétitivité dans la guerre économique que l’Afrique doit livrer ?

Cybersécurité - Partie 6 : Les acteurs de la guerre économique

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La débauche concurrentielle, le lobbying, la normalisation, l’influence socioculturelle, les actions humanitaires et les ONG, la contrefaçon concurrentielle et la guerre de l’information sont en train de devenir les principaux leviers de la guerre informationnelle et économique.

Cybersécurité - Partie 7 : Conclusion et perspectives

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Face à ces enjeux, les gouvernements et les entreprises africains doivent rester déterminés. Il faudra que la politique en Afrique dépasse ses contradictions pour se concentrer sur les problèmes structurels du continent. Les dirigeants africains doivent comprendre et intégrer les défis à relever en changeant de paradigme de gouvernance, en adoptant un véritable leadership, en modifiant les perceptions des problèmes et en accélérant leur résolution.

Africa4Tech : à la rencontre des innovateurs qui veulent révolutionner l’Afrique avec le numérique

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Les rideaux sont tombés sur la première édition du bootcamp (camp d’accélération) Africa4Tech le vendredi 4 novembre 2016 à Marrakech au Maroc. Durant 72 heures, de nombreux projets innovants ont émergé des quatre ateliers thématiques sur lesquels étaient invités une quarantaine de jeunes innovateurs africains accompagnés de mentors et d’experts internationaux.

Les rideaux sont tombés sur la première édition du bootcamp (camp d’accélération) Africa4Tech le vendredi 4 novembre 2016 à Marrakech au Maroc. Durant 72 heures, de nombreux projets innovants ont émergé des quatre ateliers thématiques sur lesquels étaient invités une quarantaine de jeunes innovateurs africains accompagnés de mentors et d’experts internationaux. Des échanges intéressants ont également eu lieu durant les “Digital talks” et surtout quatre jeunes innovateurs africains ont été désignés champion du numérique (digital champion) pour représenter la communauté des innovateurs africains la COP22 et au delà.

Lire : Africa 4 Tech : quatre innovateurs africains désignés “champions du numérique”

Les quatre thématiques sur lesquelles les innovateurs et experts ont travaillé sont l’agriculture, la santé, l’éducation et l’énergie propre. Pour chaque thématique, ils se sont répartis en ateliers pour réfléchir sur différentes problématiques.

Dans l’atelier santé, on retiendra par exemple la création d’Herebuigu, un jeu destiné aux enfants drépanocytaires. A travers un échanges sms, Herebuigu permet à l’enfant d’apprendre de façon ludique les bonnes pratiques pour se protéger. L’échopen est une autre initiative de l’atelier santé qui vise à créer un stétoscope à faible coût, et qui, relié à une application mobile va aider le médecin qui l’utilise à faire un diagnostic fiable très rapidement. Une communauté de 300 chercheurs, développeurs et designers travaillent sur cet objet qui pourrait révolutionner les consultations prénatables.

Côté agriculture, trois groupes ont travaillé sur trois problématiques différentes : comment optimiser le management de l’eau grâce aux objets connectés, comment démocratiser l’accès à l’analyse des pesticides et éduquer le consommateur puis comment accélérer la reforestation en Afrique.

Pour la dernière problématique, les innovateurs ont trouvé la solution Green Wings. L’idée consiste à programmer des drônes pour la surveillance des forêts. Des capteurs seront placés sur les arbres et enverront un signal aux drônes dès qu’un bruit de coupe sera émis dans la fôret, a expliqué Naziah Restaouih, l’une des membres de ce groupe de travail.

La solution imaginée quant au management de l’eau est la création d’un réseau des irrigateurs africains appelé IrriConnect Africa. AgriTechCluster, la solution à la première problématique se veut être une solution globale pour résoudre les problèmes de distribution des produits agricoles en Afrique.

Sur la thématique de l’éducation, deux groupes de travail se sont formés. Ils ont travaillé sur comment garantir des contenus éducatifs de qualité à bas coût et sur comment améliorer l’éducation des enfants dans les “déserts scolaires”.

La réponse à la première problématique a été “Nellie”. Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux entrepreneurs africains qui va leur permettre, en répondant à une série de questions sur leur idée d’entreprise, d’avoir un plan d’affaires fiable. La plate-forme offrira ensuite un accompagnement intellectuelle grâce à son réseau de mentor et pourra financer des startup edtech grâce à son réseau d’investisseurs.

La deuxième solution consiste à développer des boites à connaissances (Idea Box) sur le modèle du Kwiizi box ou de celles proposée par la société Brck de Juliana Rotish, co-fondatrice de Ushaidi au Kenya. Ces idea box sont de petits ordinateurs à bas coûts embarquant des contenus éducatifs capables de se connecter à internet ou pas et qui permettent d’apporter la connaissance aux enfants des zones défavorisées.

En ce qui concerne l’énergie propre, trois équipes ont travaillé sur les trois problématiques que sont la réduction du coût humain grâce aux technologies à faible coût, l’optimisation du mix énergétique grâce aux smart grids et les technologies pour l’énergie pré-payée off-grid.

Maurice Thantan (@seigla)


Houlin Zhao Secrétaire général de l’UIT au Bénin pour trois jours

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Le secrétaire général de l’Union internationale des Télécommunications (UIT), Houlin Zhao, a entamé une visite de travail au Bénin depuis ce 28 mars 2017. Il a été reçu par Rafiatou Monrou, ministre de l’Economie numérique et de la communication...

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Le secrétaire général de l’Union internationale des Télécommunications (UIT), Houlin Zhao, a entamé une visite de travail au Bénin depuis ce 28 mars 2017. Il a été reçu par Rafiatou Monrou, ministre de l’Economie numérique et de la communication.

Pour Rafiatou Monrou, cette visite s’inscrit dans la redynamisation de la coopération entre l’UIT et le Bénin. Le gouvernement du Bénin veut réduire la fracture numérique et faire de l’innovation du numérique un outil de création de richesse. Ces objectifs de l’exécutif en matière de technologie numérique contenus dans le Programme d'actions du gouvernement sont en adéquation avec ceux de l’UIT.

Le séjour de Houlin Zhao permettra d’une part d’évoquer la contribution des télécommunications dans le développement durable et d’autre part d’apporter des réponses à la problématique du financement du secteur des technologies de l’information et de la communication. Le ministre de l’economie numérique souhaite que les échanges avec les chefs d’entreprises et promoteurs puissent “faire du Bénin une plateforme de services numériques pour toute l’Afrique de l’Ouest”.

Des séances de travail avec le président Patrice Talon, des membres du gouvernement et les députés vont meubler les trois jours que va durer le séjour Houlin Zhao.

 

Adonis Bohoun

Cybercriminalité au Bénin : nécessité de réagir face à un fléau qui perdure

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Au Bénin, le phénomène de la cybercriminalité continue d’étendre ses tentacules. Depuis son apparition dans la sous-région dans les années 2000, importé du Nigeria avec l’apparition de l’Internet, la cyberdélinquance ne cesse de progresser. Le phénomène s’adapte à l’ère du temps et prospère à la faveur de l’ingéniosité de ces acteurs.

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Au Bénin, le phénomène de la cybercriminalité continue d’étendre ses tentacules. Depuis son apparition dans la sous-région dans les années 2000, importé du Nigeria avec l’apparition de l’Internet, la cyberdélinquance ne cesse de progresser. Le phénomène s’adapte à l’ère du temps et prospère à la faveur de l’ingéniosité de ces acteurs.

“Il n’est pas rare de voir des magasins de vente de téléphones portables, de vente d’ordinateurs (...) même des quincailleries... mais à l’intérieur, ce sont des activités de cybercriminalité qui s’y mènent”, explique le commissaire Nicaise Dangnibo, responsable de l’Office central de répression de la cybercriminalité (Ocrc).

Des chiffres effarants

Si le phénomène n’est pas en recul au Bénin, ses dégâts n’en sont pas moins. Pour le compte du premier trimestre de 2017, l’Ocrc a déjà recensé 98 cas d’attaques cybercriminelles subies par des individus. Au total, 73 personnes ont été arrêtées pour un préjudice estimé à plus de 410 millions de francs. Les attaques subies par les institutions s’évaluent à plus de 200 millions de francs.

Sur le plan régional, le Bénin se classe même troisième pays où se mène le plus d’activités cybercriminelles derrière le Nigeria et la Côte d’Ivoire.

Mode opératoire

Pour les cybercriminels, il existe plusieurs procédés pour atteindre leurs proies. Cela part du piratage de comptes personnels aux chantages de divers ordres en passant par tous types d’escroquerie. D’après l’Office central de répression de la cybercriminalité, c’est le chantage à la web-cam qui arrive en tête. 19 cas de ce type de cybercriminalité ont été déjà recensés cette année. Sur les cas recensés, 13 personnes ont été appréhendées pour un préjudice cumulant à 21 millions de francs.

Au delà du préjudice financier, le phénomène salit l’image du Bénin et réduit son attractivité auprès des investisseurs étrangers, explique Mathias Houngbo, administrateur des systèmes informatiques et spécialiste de la sécurité informatique.

Répression

Sur le plan de la répression, l’Office central de répression de la cybercriminalité se bat tant bien que mal pour faire face au phénomène. A ce niveau, on estime que la structure manque cruellement de moyens d’action. “Pour pouvoir lutter contre une telle catégorie d’infractions, il nous faut des équipements de pointe, des équipements sophistiqués. A ce niveau, j’avoue que nous sommes encore à la traîne”, confesse le commissaire Nicaise Dangnibo.

Pour les spécialistes de la sécurité informatique, les utilisateurs aussi doivent contribuer à leur propre protection à travers une certaine hygiène numérique. La vigilance dans le partage de ses données personnelles et des informations sensibles et une utilisation responsable des réseaux sociaux sont recommandées. La dénonciation des acteurs de la cyberdélinquance est aussi encouragée pour enrayer le phénomène.

Mais la responsabilité des autorités publiques est toujours pointée du doigt. Car si le fléau se bonifie, la riposte doit être à la mesure de l’attaque.

Samuel Adimi et Maurice Thantan 

Le Bénin célèbre la 1ère édition de la journée internationale des jeunes filles dans le secteur des Tic

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La Communauté internationale célèbre les quatrièmes jeudis du mois d’avril de chaque année la journée internationale des jeunes filles dans le secteur des Technologies de l’information et de la communication (Tic). Le Bénin célèbre sa première édition de cette journée ce 27 avril 2017...

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La Communauté internationale célèbre les quatrièmes jeudis du mois d’avril de chaque année la journée internationale des jeunes filles dans le secteur des Technologies de l’information et de la communication (Tic). Le Bénin célèbre sa première édition de cette journée ce 27 avril 2017 sous le thème :"Tic, opportunités d’emploi pour les jeunes filles”.

Rafiatou Monrou, ministre de l’Economie numérique et de la communication a souligné l’importance de l’institution de cette journée au Bénin qui “vise à créer un environnement international qui encourage les jeunes filles à entreprendre des carrières professionnelles dans les Tic”. Elle a annoncé un programme qui comporte des conférences-débats, des partages d'expériences des femmes “influentes” du secteur des Tic avec les jeunes filles.
Les jeunes filles de plusieurs collèges seront aussi sensibilisées afin d’opter pour des filières scientifiques dans leur cursus scolaire.

La journée internationale des jeunes filles dans le secteur des Tic a été instaurée par l’Unesco appuyée par l’Union internationale des Technologies (Uit). Elle a pour objectif de sensibiliser, de former, d’apprendre et de promouvoir le développement des jeunes filles et leur insertion dans les Tic.

 

Adonis Bohoun

L’Agence du numérique lance le HackerLab, un concours sur la cybersécurité pour détecter des talents

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L’Agence du numérique a lancé ce lundi 15 mai 2017 le HackerLab, un concours national sur la cybersécurité. La structure en charge de la conception et de la mise en œuvre des programmes du gouvernement dans le secteur du numérique l’a annoncé sur son compte Twitter. 

 L’Agence du numérique a lancé ce lundi 15 mai 2017 le HackerLab, un concours national sur la cybersécurité. La structure en charge de la conception et de la mise en œuvre des programmes du gouvernement dans le secteur du numérique l’a annoncé sur son compte Twitter.

L’Agence explique que le concours s’inscrit dans le cadre du programme de lutte contre la cybercriminalité et de renforcement de la cybersécurité au Bénin à travers le déploiement “d’une stratégie axée sur le développement de la confiance numérique, afin de garantir l'intégrité et la fiabilité des infrastructures auprès des utilisateurs”.

L’objectif du challenge consiste à identifier les talents locaux en termes de compétences en cybersécurité et de lutte contre la cybercriminalité.

Le concours est ouvert à tous les Béninois de 15 ans et plus, sensibles à la cybersécurité. Les personnes désireuses de participer à ce challenge sont invitées à s'inscrire du 15 mai au 25 juin 2017 sur le site web www.hackerlab.bj. Les épreuves du challenge se dérouleront du 30 mai au 25 juin 2017 et l'annonce des gagnants se fera le 27 juin 2017.

Maurice Thantan (@seigla)

Déploiement de la Tnt : les pays africains échangent avec StarTimes à Beijing

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La 7ème édition du séminaire sur le développement de la télévision numérique terrestre (Tnt) en Afrique s’est ouvert ce 22 mai 2017 à Beijing en Chine. Initié par le groupe StartTimes, ce forum permettra aux pays africains d'échanger sur leurs expériences et d’exposer leurs difficultés dans ce processus...

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La 7ème édition du séminaire sur le développement de la télévision numérique terrestre (Tnt) en Afrique s’est ouvert ce 22 mai 2017 à Beijing en Chine. Initié par le groupe StartTimes, ce forum permettra aux pays africains d'échanger sur leurs expériences et d’exposer leurs difficultés dans ce processus.

Les 400 participants à ces travaux qui proviennent de 44 pays d’Afrique et d’Asie dont le Bénin débattent du thème : “généraliser la télévision numérique, jouir de la vie smart”. Pour Pang Xinxing, Président directeur général de Startimes, ce séminaire doit constituer une plateforme d'échanges sur les actions à mener pour le développement des médias en Afrique. Il a assuré de l’engagement de sa structure à accompagner les pays africains dans ce processus de migration.

Les participants africains ont formulé des requêtes dont le transfert de technologie et l'organisation de formations dans le secteur de la création et de la réalisation afin d'offrir des contenus de qualité et attractifs.

Au bilan actuel du passage à la Tnt en Afrique, la Tanzanie est le premier pays du continent à avoir achevé le processus de déploiement de la Tnt. Les pays comme la Guinée bissau, la Centrafrique et la République Démocratique du Congo viennent quant à eux de signer la convention avec le groupe Startimes.

Au Bénin, le processus de déploiement de la Tnt entamé depuis 2015 pourrait se concrétiser à la fin de l’année en cours a assuré Darius Quenum, membre du comité de pilotage du déploiement de la Tnt au Bénin.

Adonis Bohoun

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